Séries - Agence VU'

Les mineurs de Carmaux, 1993

Série| Les mineurs de Carmaux, Tarn, sont nationalement connus pour les mouvements sociaux qu’ils initièrent et leur importance dans l’histoire.

Sous la clarté d'un néon, une main tendue effleure des doigts la coiffe d'une femme, le regard en coin, l'un des personnages de La Diseuse de bonne aventure, peinte par Georges de La Tour il y a trois siècles.

Bruno Boudjelal séries

Voyages à Sétif (1993-1999)

J’ai toujours été persuadé d’être d’ici jusqu’à un jour de mai 1993 où je me suis retrouvé en Algérie. J’étais parti là-bas avec une totale méconnaissance de ce qui s’y passait. Je voulais effectuer une traversée du pays d’est en ouest et tenter de retrouver ma famille. Mon père, avec qui j’avais rendez-vous la veille de mon départ afin qu’il me donne des renseignements, ne vint pas.

Agnès Bonnot séries

Atelier Chanel, 1993

Au cœur des ateliers haute couture Chanel à Paris.

Françoise Huguier séries

En route pour Behring, 1993

Série | Françoise Huguier nous rapporte du Grand Nord ses images et ses notes de voyage de Sibérie. Paysages nus, neiges et glaces, paysages habités, poches d'industries ou ports de pêche, petites villes, cabanes, tentes, igloos, goulags endormis...

Hiên Lâm Duc séries

Roumanie, les gamins du pavé, 1992

Pour les gamins du pavé, le trajet aboutit dans une impasse. La vie dehors est rude. Nombreux sont ceux qui se sont perdus dans la drogue.

Bertrand Desprez séries

Pour quelques étoiles…, 1992

De 1992 à 1995 j’ai suivi des groupes d’adolescents du lycée Jules Ferry à Paris dans leur quotidien. Le lycée; l’amitié, les groupes, la musique, le sport, la famille, les fêtes...

Agnès Bonnot séries

Écoles de Paris, 1992

Au cœur des écoles parisiennes, Agnès Bonnot à photographié le quotidien des élèves, de la maternelle au lycée.

Roland Allard séries

Portraits, 1992

Sélection de portraits réalisés par Roland Allard

Fabrice Picard séries

Animae, 1991

Série | Ce travail est un regard porté sur l’animalité et plus particulièrement sur ce fil d’une extrême ténuité qui la sépare de l’humanité. Cette lisière étroite, fragile, où l’homme se reconnaît dans l’animal et vice versa.