Denis
Dailleux

Denis Dailleux

biographie


Photographe français, né en 1958 à Angers, vit à Paris.

Membre de lʼAgence VUʼ (Paris), il est représenté par la galerie Camera Obscura (Paris) la Galerie 127 (Marrakech) et la Galerie Peter Sillem (Frankfurt).

« Avec la délicatesse qui le caractérise, il pratique une photographie apparemment calme, incroyablement exigeante, traversée par des doutes permanents et mue par l’indispensable relation personnelle qu’il va entretenir avec ce – et ceux – qu’il va installer dans le carré de son appareil. Sa passion pour les gens, pour les autres, l’a naturellement amené à développer le portrait comme mode de figuration privilégié de ceux dont il avait l’envie, le désir d’approcher davantage ce qu’ils étaient. Et il l’a fait, avec Catherine Deneuve comme avec des anonymes des quartiers populaires du Caire ; avec cette même discrétion qui attend que l’autre lui donne ce qu’il espère, sans le revendiquer, en espérant que cela se produira. Alors, patiemment, il a construit un portrait inédit de la capitale de cette Egypte avec laquelle il entretient une relation amoureuse, voire passionnelle, pour mêler, entre des noirs et blancs au classicisme exemplaire et des couleurs à la subtilité rare, une alternative absolue à tous les clichés, culturels et touristiques, qui encombrent nos esprits. » Christian Caujolle

Depuis quelques années, tout en continuant à photographier lʼEgypte, Denis Dailleux se rend régulièrement au Ghana où il explore de nouvelles relations au corps et à lʼespace, à la vie et à la mort, à la communauté, à la mer, qui ouvrent de nouveaux horizons à sa recherche photographique.

Régulièrement exposé et publié dans la presse nationale et internationale, son travail fait l’objet de nombreuses monographies. Denis Dailleux est également lauréat de prix prestigieux dont un World Press Photo – Catégorie Staged Portraits pour sa série « Mère et Fils » en 2014, et en 2019 le Prix Roger Pic décerné par la Scam pour sa série « In Ghana – We shall meet again ».

Séries


Mullick Ghat, le plus grand marché aux fleurs de l’Inde, 2019

Le marché aux fleurs de Calcutta, aussi appelé Mullick Ghat, est le plus grand de l’Inde et l’un des plus grands du monde. Il se déploie le long des rives de la Hooghly, la branche occidentale du Gange, juste sous l’impressionnant pont Howrah.

Juliette, 2019

Dans le village d’enfance de Denis Dailleux, en Anjou, vivait une femme de caractère, véritable personnage de roman : Juliette, sa grand-tante, décédée en 2017 à l’âge de 100 ans.

Ghana. We Shall Meet Again, 2019

Denis Dailleux est célèbre pour le portrait inédit et passionné de l’Égypte qu’il élabore depuis plus de quinze ans. En quête de nouveaux espaces de création, il se rend aussi régulièrement au Ghana depuis 2009.

Persan-Beaumont, 2018

Une immersion dans une cité de banlieue à la fin des années 1980

Voyage ordinaire, 2016

Denis Dailleux, qui a fait de l’Egypte son sujet de prédilection depuis plus de 15 ans, s’est ainsi immergé dans les quartiers populaires du Caire pour faire le portrait des conducteurs de tuk-tuk.

Une odyssée des arômes et des parfums, 2015

A l'occasion des 250 ans de la célèbre maison Givaudan, institution du marché des parfums, Denis Dailleux à entrepris de suivre la piste des essences les plus précieuses que l'on puisse extraire de la nature.

Mère et Fils, 2014

Le photographe français Denis Dailleux, installé au Caire depuis sept ans, ne cesse de montrer la générosité du peuple égyptien, dont il est tombé amoureux voilà quinze ans.

Égypte, les martyrs de la révolution, 2012

À travers ses photographies, Denis Dailleux rend hommage aux martyrs, ces hommes et ces femmes – souvent jeunes – qui ont perdu la vie lors de la révolution égyptienne du 28 janvier 2011, victimes des violences policières et des milices pro-Moubarak.

Fils de Roi, portraits d’Égypte, 2008

Fils de roi… Fils de pharaon, fils d’une histoire immobile, en équilibre durant trois ou quatre mille ans et qui, depuis un siècle ou deux, s’ébranle à rebours vers un chaos dont nul ne devine l’ampleur.

Sur les toits du Caire, 2006

Dans la capitale égyptienne, des milliers d'habitants n'ont d'autre endroit où se loger que les sommets des immeubles.

Maroc, les gens d'Azemmour, 2005

Azemmour est une petite ville située à 16 km au nord d'El Jadida et à 72 km au sud de Casablanca, à l'embouchure du fleuve Oum Rabie.

Sur les pas de Rimbaud au Yémen et en Ethiopie, 2004

Partir sur les traces de l’homme aux semelles de vent comme prétexte. Découvrir une Afrique méconnue et aller à la rencontre de ses habitants comme seul but.

Habibi Cairo : Le Caire mon amour, 1994

Ces visages d’enfants, d’hommes et de femmes, empreints de poésie et de tendresse nous entraînent dans les quartiers du Caire où vivent ces familles.

Le Caire, 1994

Denis Dailleux se rend régulièrement au Caire, de façon obsessionnelle. De cette quête inépuisable, il ramène des images, elles aussi inépuisables.

Les gens de mon village, 1990

Cette série de portraits en noir et blanc représente les personnes autour desquelles Denis Dailleux a grandi, entre amour et haine. Réalisée alors qu’il était âgé de 25 ans et pétri de doutes, le projet est un bouleversement dans le travail du photographe.

Mullick Ghat, le plus grand marché aux fleurs de l’Inde, 2019

Le marché aux fleurs de Calcutta, aussi appelé Mullick Ghat, est le plus grand de l’Inde et l’un des plus grands du monde. Il se déploie le long des rives de la Hooghly, la branche occidentale du Gange, juste sous l’impressionnant pont Howrah.

Juliette, 2019

Dans le village d’enfance de Denis Dailleux, en Anjou, vivait une femme de caractère, véritable personnage de roman : Juliette, sa grand-tante, décédée en 2017 à l’âge de 100 ans.

Ghana. We Shall Meet Again, 2019

Denis Dailleux est célèbre pour le portrait inédit et passionné de l’Égypte qu’il élabore depuis plus de quinze ans. En quête de nouveaux espaces de création, il se rend aussi régulièrement au Ghana depuis 2009.

Persan-Beaumont, 2018

Une immersion dans une cité de banlieue à la fin des années 1980

Voyage ordinaire, 2016

Denis Dailleux, qui a fait de l’Egypte son sujet de prédilection depuis plus de 15 ans, s’est ainsi immergé dans les quartiers populaires du Caire pour faire le portrait des conducteurs de tuk-tuk.

Une odyssée des arômes et des parfums, 2015

A l'occasion des 250 ans de la célèbre maison Givaudan, institution du marché des parfums, Denis Dailleux à entrepris de suivre la piste des essences les plus précieuses que l'on puisse extraire de la nature.

Mère et Fils, 2014

Le photographe français Denis Dailleux, installé au Caire depuis sept ans, ne cesse de montrer la générosité du peuple égyptien, dont il est tombé amoureux voilà quinze ans.

Égypte, les martyrs de la révolution, 2012

À travers ses photographies, Denis Dailleux rend hommage aux martyrs, ces hommes et ces femmes – souvent jeunes – qui ont perdu la vie lors de la révolution égyptienne du 28 janvier 2011, victimes des violences policières et des milices pro-Moubarak.

Fils de Roi, portraits d’Égypte, 2008

Fils de roi… Fils de pharaon, fils d’une histoire immobile, en équilibre durant trois ou quatre mille ans et qui, depuis un siècle ou deux, s’ébranle à rebours vers un chaos dont nul ne devine l’ampleur.

Sur les toits du Caire, 2006

Dans la capitale égyptienne, des milliers d'habitants n'ont d'autre endroit où se loger que les sommets des immeubles.

Maroc, les gens d'Azemmour, 2005

Azemmour est une petite ville située à 16 km au nord d'El Jadida et à 72 km au sud de Casablanca, à l'embouchure du fleuve Oum Rabie.

Sur les pas de Rimbaud au Yémen et en Ethiopie, 2004

Partir sur les traces de l’homme aux semelles de vent comme prétexte. Découvrir une Afrique méconnue et aller à la rencontre de ses habitants comme seul but.

Habibi Cairo : Le Caire mon amour, 1994

Ces visages d’enfants, d’hommes et de femmes, empreints de poésie et de tendresse nous entraînent dans les quartiers du Caire où vivent ces familles.

Le Caire, 1994

Denis Dailleux se rend régulièrement au Caire, de façon obsessionnelle. De cette quête inépuisable, il ramène des images, elles aussi inépuisables.

Les gens de mon village, 1990

Cette série de portraits en noir et blanc représente les personnes autour desquelles Denis Dailleux a grandi, entre amour et haine. Réalisée alors qu’il était âgé de 25 ans et pétri de doutes, le projet est un bouleversement dans le travail du photographe.

Mullick Ghat, le plus grand marché aux fleurs de l’Inde, 2019

Le marché aux fleurs de Calcutta, aussi appelé Mullick Ghat, est le plus grand de l’Inde et l’un des plus grands du monde. Il se déploie le long des rives de la Hooghly, la branche occidentale du Gange, juste sous l’impressionnant pont Howrah.

Juliette, 2019

Dans le village d’enfance de Denis Dailleux, en Anjou, vivait une femme de caractère, véritable personnage de roman : Juliette, sa grand-tante, décédée en 2017 à l’âge de 100 ans.

Ghana. We Shall Meet Again, 2019

Denis Dailleux est célèbre pour le portrait inédit et passionné de l’Égypte qu’il élabore depuis plus de quinze ans. En quête de nouveaux espaces de création, il se rend aussi régulièrement au Ghana depuis 2009.

Persan-Beaumont, 2018

Une immersion dans une cité de banlieue à la fin des années 1980

Voyage ordinaire, 2016

Denis Dailleux, qui a fait de l’Egypte son sujet de prédilection depuis plus de 15 ans, s’est ainsi immergé dans les quartiers populaires du Caire pour faire le portrait des conducteurs de tuk-tuk.

Une odyssée des arômes et des parfums, 2015

A l'occasion des 250 ans de la célèbre maison Givaudan, institution du marché des parfums, Denis Dailleux à entrepris de suivre la piste des essences les plus précieuses que l'on puisse extraire de la nature.

Mère et Fils, 2014

Le photographe français Denis Dailleux, installé au Caire depuis sept ans, ne cesse de montrer la générosité du peuple égyptien, dont il est tombé amoureux voilà quinze ans.

Égypte, les martyrs de la révolution, 2012

À travers ses photographies, Denis Dailleux rend hommage aux martyrs, ces hommes et ces femmes – souvent jeunes – qui ont perdu la vie lors de la révolution égyptienne du 28 janvier 2011, victimes des violences policières et des milices pro-Moubarak.

Fils de Roi, portraits d’Égypte, 2008

Fils de roi… Fils de pharaon, fils d’une histoire immobile, en équilibre durant trois ou quatre mille ans et qui, depuis un siècle ou deux, s’ébranle à rebours vers un chaos dont nul ne devine l’ampleur.

Sur les toits du Caire, 2006

Dans la capitale égyptienne, des milliers d'habitants n'ont d'autre endroit où se loger que les sommets des immeubles.

Maroc, les gens d'Azemmour, 2005

Azemmour est une petite ville située à 16 km au nord d'El Jadida et à 72 km au sud de Casablanca, à l'embouchure du fleuve Oum Rabie.

Sur les pas de Rimbaud au Yémen et en Ethiopie, 2004

Partir sur les traces de l’homme aux semelles de vent comme prétexte. Découvrir une Afrique méconnue et aller à la rencontre de ses habitants comme seul but.

Habibi Cairo : Le Caire mon amour, 1994

Ces visages d’enfants, d’hommes et de femmes, empreints de poésie et de tendresse nous entraînent dans les quartiers du Caire où vivent ces familles.

Le Caire, 1994

Denis Dailleux se rend régulièrement au Caire, de façon obsessionnelle. De cette quête inépuisable, il ramène des images, elles aussi inépuisables.

Les gens de mon village, 1990

Cette série de portraits en noir et blanc représente les personnes autour desquelles Denis Dailleux a grandi, entre amour et haine. Réalisée alors qu’il était âgé de 25 ans et pétri de doutes, le projet est un bouleversement dans le travail du photographe.

vidéos


Mère et Fils, 2014

Juliette et le photographe – Bande-annonce, 2004

Interviews


VISION #36 – Denis Dailleux
Vision(s)

Interview réalisée par Lily Lajeunesse, 2022

Dans cet entretien mené par Lily Lajeunesse, Denis Dailleux se confie. Il commence par son parcours initial – son enfance, ses études, son arrivée à Paris et ses débuts en tant que fleuriste. Puis, on s’immisce assez rapidement dans son univers photographique : ses projets mais aussi son rapport au doute, sa manière de tisser des relations avec ses modèles et l’importance de la mise en scène dans son travail.

L’Œil écoute
Hemeria

Interview réalisée par Yannick Le Guillanton, 2021

[…] Denis Dailleux serait-il comme ces Égyptiens qu’il photographie un photographe « mendiant et orgueilleux » ? Parce que l’on peut être pauvre mais élégant, vivre de peu mais être fier de sa destinée et de ce que l’on a construit avec les siens, droit et digne face à l’adversité ? Observateur attentif de la société, il est avant tout un sociologue dont l’outil serait la photographie. Attiré par la sincérité de ses sujets, par leur vérité, il affirme qu’« avec la photographie, on découpe le réel, on se reconstruit une vie qui peut être supportable ». [..]

Par les temps qui courent
France Culture

Interview réalisée par Marie Richeux, 2020

Photographier, c’est s’emparer du corps.
En photographie, il faut prendre, et parfois il y a une urgence à prendre. Il y a des moments où, on sent que tout est en place, et parfois, on le croit, mais c’est une illusion, rien n’est là. En fait, il faut beaucoup de conjonctions pour que tout soit là, mais aussi, en ce qui me concerne, beaucoup de désir.

Paso doble, le grand entretien
France Culture

Interview réalisée par Tewfik Hakem, 2016

Egypte, les martyrs de la révolution.
Je voulais me perdre au Ghana, découvrir un ailleurs.

Regardez-voir
France Inter

Interview réalisée par Brigitte Patient, 2014

Egypte, les martyrs de la révolution.
Entrer dans le plus intime de la révolution commencée en janvier 2011, Place Tahrir, au Caire, c’est que ferons ce soir avec les photographies de Denis Dailleux et Fabienne Pavia, éditrice des éditions Le bec en l’air.

L’Atelier de Denis Dailleux au caire (2/2)
France Inter

Interview réalisée par Vincent Josse, 2011

« La photo n’est pas une obsession, à un moment elle devient une nécessité, entrecoupée des moments où je vais voir des gens, pour le plaisir de les saluer. » Denis Dailleux.

L’Atelier de Denis Dailleux au caire (1/2)
France Inter

Interview réalisée par Vincent Josse, 2011

« Il y a une part de manipulation dans l’image, évidemment… En photographie, on parle de soit avant de parler de l’autre, il ne faut pas se mentir… » Denis Dailleux

Temps de pose
Arte

2011

Le photographe Denis Dailleux était au Caire le 11 février, le jour de la chute de Moubarak. Et pourtant, les photos qu’il a sélectionnées pour nous ne montre pas la place Tahrir, mais des égyptiens, dans leur vie quotidienne. Les portraits, qui nous permettent de porter un autre regard sur les visages qui se cachent derrière les gros titres de la presse.

Expositions


MISR

Abbaye Royale de l’Epau

Du 21 juin au 6 novembre 2023

Ghana, we shall meet again

Festival Photo du Guilvinec, Le Guilvinec (FRANCE)

Du 1er juin au 30 septembre 2021

Années 90, de mon village à Persan

Festival L’œil Urbain, Corbeil-Essonnes (FRANCE)

Du 27 mai au 04 juillet 2021

Ma tante Juliette

Cité de l’image de Clervaux, Clervaux (LUXEMBOURG)

Du 12 avril 2019 au 10 avril 2020

Livres


Persan-Beaumont

Le Bec en l'air - 2018

Ghana

Le Bec en l’air - 2016

Mères et Fils

Le Bec en l’air - 2014

Impressions d'Égypte

Editions de la Martinière - 2011

Persan-Beaumont

Le Bec en l'air - 2018

Ghana

Le Bec en l’air - 2016

Mères et Fils

Le Bec en l’air - 2014

Impressions d'Égypte

Editions de la Martinière - 2011

Persan-Beaumont

Le Bec en l'air - 2018

Ghana

Le Bec en l’air - 2016

Mères et Fils

Le Bec en l’air - 2014

Impressions d'Égypte

Editions de la Martinière - 2011

Prix


Prix Roger Pic |SCAM (France)

Pour son sujet “Ghana, We shall meet again “

2019

World Press Photo (Pays-Bas)

2ème Prix de la catégorie « Staged Portraits » 
pour son sujet « Mère et Fils »


2014

World Press Photo (Pays-Bas)

1er prix pour la catégorie « Portrait stories » 
Pour son sujet « Égypte, Le Caire »

2000

Prix Hasselblad de la ville de Vevey (Suisse)

Pour son sujet « Mouleds »

2000

Prix “Monographies” des Editions Filigranes (France)

Pour son livre « Habibi Cairo »

1997