Cuba, 1996

Série | Ce portrait photographique sur La Havane a été réalisé lors de plusieurs séjours entre 1996 et 2000.

Les Jumeaux, 1996

Série| Rémus et Romulus, Castor et Pollux, les jumeaux sont des personnages récurrents de la mythologie et continuent de nos jours à fasciner les « singuliers ».

Portrait flou de Sans-Abris, 1996

Olivier Coulange a réalisé plusieurs reportage sur la dure réalité des sans-abris. Il témoigne, à travers ces portraits flous, du quotidien de ces anonymes, qui vivent et dorment sur les trottoirs de nos villes.

Japon, 1992-1995

Série | Fruit de plusieurs voyages dans l’archipel nippon, ce travail reflète le goût du photographe Bernard Descamps pour la légèreté et la quiétude si particulière au pays du soleil levant.

Nimulé, 1995

Série | Pourquoi me parlez-vous de choses que je ne comprends pas, que je ne connais pas, dont on ne me parle jamais ? Encore de réfugiés, encore des personnes déplacées, encore de la guerre, des armes...

Pauvreté, 1995

Jane Evelyn Atwood témoigne à travers ce reportage sur la pauvreté, de la force et du courage dont ils font preuve chaque jour, pour survivre.

Argentine - Prison de Femmes, 1993

Série | L’univers carcéral est dans l’imaginaire collectif, un milieu profondément masculin. Pourtant de nombreuses femmes sont incarcérées de par le monde. Comment concilient-elles leur enferment avec leur vie de femme, de mère, et d’épouse ?


Princess Hannah, avec les sans-abris, 1989-1994

Peu de photographes ont eu le courage et la constance d’Olivier Coulange qui depuis 1989, accompagne les SDF, les regarde de débattre et témoigne en vivant avec eux, à l’ « Armée du Salut » et dans la rue.

The Silence, And Nothing Around, 1994

En organisant, sur des feuilles blanches, le dialogue entre des photographies happées au quotidien de ce temps de guerre et des mots surgis de cette situation de guerre, nous ne prétendons pas apporter une nouvelle pierre au récit factuel.

Sur la ligne, 1994

C'est sur la ligne frontalière entre la Belgique et la France que, de 1992 à 1994, Michel Vanden Eeckhoudt a posé un œil ironique mais d'une sollicitude rare sur ses semblables.