Séries - Agence VU'

Peluqueria (Salon de coiffure), 1979

Série | En pleine période de la Movida madrilène, l’ artiste réalise des portraits photographiques en noir et blanc de ses proches, souvent eux-mêmes acteurs du monde culturel de l’époque, affublés des coiffures les plus loufoques et étonnantes

Chroniques Immigrées, 1978

En 1976, Christian Carez et Michel Vanden Eeckhoudt entreprennent un reportage sur l'immigration en Belgique, qui deviendra après deux ans de travail, Chroniques immigrées.

Jane Evelyn Atwood séries

Rue des Lombards, 1977

Rue des Lombards est le premier reportage photographique de Jane Evelyn Atwood, réalisé en Noir et Blanc, dans une écriture à la fois simple, efficace et sensible.

Christer Strömholm séries

Polaroids, 1977

La vingtaine de Polaroïds réalisés par Strömholm en 1976 présente des montages d’images et d’objets et constitue autant de jeux de mots visuels déroutants qui révèlent la profonde influence du surréalisme sur Strömholm.

Roland Allard séries

Manifestation contre le racisme avec Jean Paul Sartre, 1971

1971 : Djellali Ben Ali, 15 ans, est assassiné par le gardien de son immeuble au 53 rue de la Goutte d'Or à Paris (18e arrondissement).

Rodrigo Gomez Rovira séries

Anvers / Valparaiso, 1996

Séries | Anvers-Valparaiso est le voyage que j'ai entrepris pour retourner au Chili après 22 ans de présence en France.

Virxilio Vieitez séries

Scènes de la vie quotidienne, 1955-1965

Virxilio Vieitez a également chroniqué les différents moments, banals ou solennels (communions, mariages, enterrements), de la vie quotidienne de sa région rurale.

Christer Strömholm séries

Paris, 1965

“Les images d'un Paris disparu ne font pas appel à notre nostalgie mais éveillent notre curiosité et soutiennent notre interêt en tant que document..."

Virxilio Vieitez séries

Portraits d'identité (1955-1965)

Virxilio Vieitez a multiplié les photographies d’identité à partir de 1962 lorsque la carte d’identité est devenue obligatoire en Espagne.

Christer Strömholm séries

Japon, 1963

Christer Strömholm s’est rendu au Japon pour photographier, dans une expression sobre et clairsemée, les visages des victimes de la catastrophe Hiroshima.