Sahara, 1987

Série | Le désert sensuel et somptueux de Bernard Descamps est l’aboutissement d’un long travail sur l’espace qui traverse toute la production du photographe.

Chroniques d’un portraitiste, 1986

Gérard Rondeau a fait des dizaines de portraits. Ces femmes et ces hommes sont photographiés immobiles, comme avec lenteur. Rondeau leur laisse le temps de s’habituer à sa présence et, s’il se peut, d’en oublier l’indiscrétion.

Chevaux, 1985

Le Noir et Blanc et le format carré, l'envie du cadrage et du mouvement à l'intérieur du carré dont elle balance la rigidité naturelle.

Concours Belges 1985

Issu du reportage Michel Vanden Eeckhoudt a été amené à collaborer largement avec la presse et commence très tôt ses travaux personnels par des ensembles consacrés aux « Concours belges ».

Evolution probable du temps, 1981-1984

L’hiver 1981, après une magnifique chute de neige, j’ai réalisé La neige qui brûle, ma dernière mise en scène avec mannequin.


El Salvador, 1984

L’Amérique, Christian Poveda la connaît bien pour y avoir passé dix ans de sa vie à couvrir les grands évènements et les moments de chocs de ces dix années effervescentes (de 1978 à 1988) aux senteurs explosives...

Nicaragua, 1984

L’Amérique, Christian Poveda la connaît bien pour y avoir passé dix ans de sa vie à couvrir les grands évènements et les moments de chocs de ces dix années effervescentes (de 1978 à 1988) aux senteurs explosives...

Grenade, 1983

L’Amérique, Christian Poveda la connaît bien pour y avoir passé dix ans de sa vie à couvrir les grands évènements et les moments de chocs de ces dix années effervescentes (de 1978 à 1988) aux senteurs explosives...

Chili, 1983

L’Amérique, Christian Poveda la connaît bien pour y avoir passé dix ans de sa vie à couvrir les grands évènements et les moments de chocs de ces dix années effervescentes (de 1978 à 1988) aux senteurs explosives...

Zoologies 1982

« L'œil précis, froid et cruel de Michel Vanden Eeckhoudt nous oblige à voir ce que les badauds du zoo oublient peut-être d'apercevoir : que les bêtes dans leur enclos constituent la grande exposition permanente de la tristesse » Claude Roy