Ghana, we shall meet again
C’est à travers le très beau livre que Paul Strand a consacré à ce pays, que j’ai découvert le Ghana. Ce fut un choc et je me suis dit qu'un jour moi aussi j’irais découvrir et photographier ce pays.
OVNI
À travers la série d’images qui constituent OVNI, Bertrand Desprez mène une réflexion sur l’homme "prédateur", qui modifie sans limites les contours et l’ordre de la nature.
Chemin faisant
De nouveau, un cycle naturel, le partage équitable d’une année, quatre saisons aux couleurs différentes, quatre formes primaires pour établir un jeu. Croiser les deux équations et définir des chemins possibles pour chaque instant, des lieux pertinents pour appuyer ces choix.
Homanimus
Ces prises de vues surprenantes de Bertrand Desprez interrogent les rapports entre l’homme et l’animal, lorsque ce dernier devient source de projection et de réflexion. D’un côté, un bavard dont le penchant à l’imaginaire est intarissable ; de l’autre, un silencieux énigmatique décryptant le langage des dauphins et s’exaltant du chant des baleines.
AO BA, La feuille bleue
Éphémère tatami sur les pelouses des parcs au printemps, ombrelle estivale pour céréales en quête de fraîcheur, paravent d'automne, douillet manteau d'hiver pour arbres dénudés…
Les paysages du départ
Dans la continuité du travail sur les « Harragas », les « Paysages du départ » ont été réalisés sur les lieux d’où les migrants clandestins partent pour l’Europe, sur le littoral des régions d’Annaba et d’Oran.
Harragas
Exposition à louer | « Harraga » est un mot arabe qui veut dire brûler. On désigne ainsi les jeunes qui partent, qui brûlent la route, pour essayer de rejoindre l’Europe.
En route pour Behring
« Cette fois-ci c’est du grand Nord, à l’autre bout de la terre, que Françoise Huguier rapporte « En route pour Behring – Notes de voyage en Sibérie. » De quoi s’agissait-il pour « l’aventurière » ? Avant tout d’un ailleurs ?…
Kommunalka
Les toutes premières journées de Françoise Huguier, au cœur de cet appartement communautaire de Saint-Pétersbourg ont été particulièrement déroutantes.
Sublimes
Quinze ans de fréquentation assidue des ateliers et des défilés, de présence discrète autour des cabines et des studios, on permis à Françoise Huguier de déjouer l’image figée, devenue classique, de la couture et de la mode.