Fabrice
Picard

Fabrice Picard

biographie


Français, né en 1961.

La photographie de Fabrice Picard est intime. Elle résonne des questionnements qu’il pose sur le monde qui l’entoure et sur son être. Ses premiers travaux sur le couple et sur les animaux sont directement liés à sa condition gémellaire. Pour lui, la photographie est le visage gémellaire du monde, tout comme le visage de son frère était le miroir de ce qu’il vivait.
Identité, duplicité, espace visuel, la mort, les écritures, la notion de frontière sont parmi les thèmes de ses recherches, qu’il a imagé dans ses différentes séries : Animae, La Mort Dévisagée, Lieux Ordinaires, Les Jardins de Lucifer, Rupestres, Il fait déjà jour… et Faceless.

Collabore avec la presse française et étrangère ainsi que différentes institutions et entreprises.

Séries


Il fait déjà jour, 2012

Série | On a demandé un jour à un enfant quel était d’après lui l’astre le plus important, la Lune ou bien le Soleil.

Faceless, 2012

Série | “Faceless” est évidemment une réflexion sur l’identité, tant on connaît les liens étroits qui associent visage et identité : les photos d’identité ne cadrent que le visage de la personne !

Lieux Ordinaires, 2005

Série | Se laisser tenter par une vision panoramique, embrasser d’un seul coup d’œil l’étendue d’un paysage. S’arrêter et regarder.

Oradour sur Glane, 1998

Série | Parue sous le titre Orage dans le livre « Du côté d’Oradour», cette série de photographie de Fabrice Picard tente de rappeler le massacre perpétré par la division SS «Das Reich».

Animae, 1991

Série | Ce travail est un regard porté sur l’animalité et plus particulièrement sur ce fil d’une extrême ténuité qui la sépare de l’humanité. Cette lisière étroite, fragile, où l’homme se reconnaît dans l’animal et vice versa.

Il fait déjà jour, 2012

Série | On a demandé un jour à un enfant quel était d’après lui l’astre le plus important, la Lune ou bien le Soleil.

Faceless, 2012

Série | “Faceless” est évidemment une réflexion sur l’identité, tant on connaît les liens étroits qui associent visage et identité : les photos d’identité ne cadrent que le visage de la personne !

Lieux Ordinaires, 2005

Série | Se laisser tenter par une vision panoramique, embrasser d’un seul coup d’œil l’étendue d’un paysage. S’arrêter et regarder.

Oradour sur Glane, 1998

Série | Parue sous le titre Orage dans le livre « Du côté d’Oradour», cette série de photographie de Fabrice Picard tente de rappeler le massacre perpétré par la division SS «Das Reich».

Animae, 1991

Série | Ce travail est un regard porté sur l’animalité et plus particulièrement sur ce fil d’une extrême ténuité qui la sépare de l’humanité. Cette lisière étroite, fragile, où l’homme se reconnaît dans l’animal et vice versa.

Il fait déjà jour, 2012

Série | On a demandé un jour à un enfant quel était d’après lui l’astre le plus important, la Lune ou bien le Soleil.

Faceless, 2012

Série | “Faceless” est évidemment une réflexion sur l’identité, tant on connaît les liens étroits qui associent visage et identité : les photos d’identité ne cadrent que le visage de la personne !

Lieux Ordinaires, 2005

Série | Se laisser tenter par une vision panoramique, embrasser d’un seul coup d’œil l’étendue d’un paysage. S’arrêter et regarder.

Oradour sur Glane, 1998

Série | Parue sous le titre Orage dans le livre « Du côté d’Oradour», cette série de photographie de Fabrice Picard tente de rappeler le massacre perpétré par la division SS «Das Reich».

Animae, 1991

Série | Ce travail est un regard porté sur l’animalité et plus particulièrement sur ce fil d’une extrême ténuité qui la sépare de l’humanité. Cette lisière étroite, fragile, où l’homme se reconnaît dans l’animal et vice versa.

Livres