The Windows of the World, 2019
Première série d’autoportraits depuis IKWIG! (2011-2014), ces images évoquent une solitude vécue par des personnages en retrait, à la fois spectateurs passifs d’un monde qui vit sans eux et spectacles pour ceux qui le remarquent, cachés derrière leurs fenêtres.
Comme la « Miss Lonely Heart » de Fenêtre sur cour (Hitchcock, 1954), ces êtres solitaires attendent, parlent tout seul et jouent, trop apeurés pour mettre les pieds dehors.