So far, so close, 2004
Le travail d’Aniu questionne la place de l’être humain dans les villes en mouvement, marquées par un développement rapide et chaotique où l’individu se trouve marginalisé parmi les grands ensembles, perdu au milieu de ces immenses avenues et intersections.
Puisant sa photographie dans la réalité de ces villes anonymes et tentaculaires, il nous propose une vision poétique et onirique, malgré une architecture démesurée.