Paris, 1965
“Les images d’un Paris disparu ne font pas appel à notre nostalgie mais éveillent notre curiosité et soutiennent notre interêt en tant que document. Comment expliquer autrement que nous puissions, aujourd’hui, contempler avec plaisir aussi bien les toiles peintes des boutiques foraines de Pigalle que le « portrait » d’un serpent entravé ou la pose mutine d’un jeune travesti ?”