Mexique, Mar , 2007
Mer de temps, d’eau, de lumière, sinistre et fatale.
Mer vaste qui appelle et vit d’une seule gorgée et de mille soupirs.
Mer de genèse et de mort.
Mer.
Je photographie le bord de mer car c’est un lieu paradoxal.
Là, les plaisirs sensuels rencontrent les pires tourments de l’esprit.
Là est l’infini d’une vie vécue en un souffle, et l’angoisse de l’immensité.
Là, le départ, la fin, la conscience de l’être et de l’impermanence.