La Vida Loca, 2010
Il y a un an, Christian Poveda nous quittait, victime de cette violence qu’il côtoyait et documentait depuis des années dans les rues de son pays d’adoption, le Salvador.
On les appelle les Maras. Construits sur le modèle des gangs de Los Angeles, ces groupes de jeunes sèment la terreur dans toute l’Amérique Centrale.
Une plongée vertigineuse dans les banlieues de San Salvador, dans le quotidien des membres d’une armée invisible dont la violence aveugle sape les principes démocratiques et condamne une jeunesse privée de tout espoir d’avenir.