Dernier portrait, 1989
La solennelle délégation japonaise est arrivée. Deux heures d’examen attentif et émerveillé, d’exclamations, de « hi », de « han », une omelette aux truffes cuite sur la cheminée du Cabanon et le marché a été conclu. Quelques semaines plus tard, l’été 1990, les cent mannequins ont pris leur envol de Marseille-Marignane pour Kyoto dans un magnifique container dans lequel je les ai moi-même installés.
Auparavant, je les ai fait défiler 4 par 4 devant le rocher du cabanon, ce fut « Le dernier portrait ».