Courants-Contrecourants, 2002
Les photographies de Serge Clément apparaissent comme la mémoire d’un dialogue intercontinental (américano-européen), où les photographies se répondent entre matières, ombres et reflets. Elles se composent en une trame spatio-temporelle qui permet de recréer la quintessence d’une urbanité contemporaine.
Véritable livre d’artiste, Courants – Contrecourants, se découvre comme les photogrammes d’un film noir dont le scénario resterait à être inventer par chaque lecteur.