Cinq heures du matin, 2002
Un hommage à cet instant fugitif où tout s’apprête à basculer. Traverser brièvement quelques villes du monde, à l’automne 2004. Déambuler à leur éveil, entre nuit et crépuscule presqu’entièrement porté par les hasards. Vouloir réfléchir ou tenter d’anticiper un contenu, puis chaque matin se laisser porter par les intuitions, les rencontres fortuites, les gestes et sons enveloppés dans la nuit et durant l’apparition subite de la lumière matinale.